Divina Fanny Ardant

  Daniel Auteuil - Si vous m'aviez connu Premier single disponible sur toutes les plateformes: https://dnlautsvmmcsgle.lnk.to/onzKwA Paroles: Daniel Auteuil Musique: Gaëtan Roussel Avec l'amicale participation de Fanny Ardant. Réalisé par Fred Scotlande (P) & (C) 2021 Robin Production sous licence exclusive French Paradox

J’aime les excès, les gens peu fréquentables, je n’aime pas les bien-pensants. Je ne cherche pas à provoquer, mais je ne veux pas qu’on me dise ce que je dois dire, penser, je ne veux pas rentrer dans le rang." Fanny Ardant - Le Monde Merci a Deleyaman

  Fanny Ardant y 8 femmes en Funko Pop!

  Britta Sandberg Getty Images

Sincerely gorgeous. A wonderful woman of the cinema, muse and protagonist, one of the most beloved faces of the seventh art. Certain, courteous, elegant. Or, more simply, Fanny Ardant. Sinceramente splendida. Una meravigliosa donna del cinema, musa e protagonista, uno dei volti più amati della settima arte. Sicura, cortese, elegante. O, molto più semplicemente, Fanny Ardant.   Locarno Film Festival

Retour sur la carrière immense de Fanny Ardant. De "La Femme d'à côté" de François Truffaut à "Ridicule" de Patrice Leconte, en passant par sa collaboration avec Gérard Depardieu.

#RomaFF14 | Highlights Fanny Ardant

"La Belle Epoque" Premiere At Cinema Gaumont Opera Capucines In Paris PARIS, FRANCE - OCTOBER 17: (L-R) Daniel Auteuil, Guillaume Canet, Fanny Ardant, Nicolas Bedos and Doria Tillier attend the "La Belle Epoque" premiere at cinema Gaumont Opera Capucines on October 17, 2019 in Paris, France. (Photo by Pascal Le Segretain/Getty Images) "La Belle Epoque" Premiere At Cinema Gaumont Opera Capucines In Paris PARIS, FRANCE - OCTOBER 17: (L-R) Daniel Auteuil, Guillaume Canet, Fanny Ardant, Nicolas Bedos and Doria Tillier attend the "La Belle Epoque" premiere at cinema Gaumont Opera Capucines on October 17, 2019 in Paris, France. (Photo by Pascal Le Segretain/Getty Images)

«Je regrette de ne pas avoir rencontré Marguerite Duras.  Je pense que nous nous serions bien entendues, que nous aurions ri ensemble…» Tass/ABACA

Théatre de l'Atelier

La actriz francesa, mito del cine europeo, habla de su sempiterna depresión y del movimiento #MeToo en la presentación de su filme "Lola Pater" Hace un par de años Fanny Ardant (Saumur, 1949), actriz y directora, mito viviente del cine francés, confesó en una entrevista que era "pesimista por naturaleza", y que pasaba por la vida "con un gran velo negro sobre la cabeza". Para alguien que ha hecho de su sonrisa un arma de destrucción y de su carrera un canto al éxito y al trabajo bien hecho, parecería una declaración chocante. "Pues no te creas, ayuda mucho a construir los personajes. Porque cuando posees un poso de depresión entiendes los sufrimientos de los demás, los abandonos. Si fuera alegre de por sí, sin más, no sabría cómo interpretar  el dolor". Con ese trasfondo, Ardant ha encarnado en Lola Pater a Lola Chekib, un transexual de orígen magrebí instalado en la Francia profunda que se reencuentra con su hijo, un veinteañero que

Fanny Ardant (Saumur, 1949) no es tanto una  actriz como una forma de  estar en el mundo. Ella misma se explica "Un actor no existe fuera del escenario o de la pantalla". En cuanto se apagan las luces ... No me gusta la actitud de ésos que se creen estrellas las 24 horas  del día. Es tan ridículo". Queda claro. Embutida en un vestido floreado, manos perfectamente ensortijadas desde el meñique al pulgar y con una sonrisa abierta de par en par que hasta ofende, da la mano y se presenta. Enérgica y hasta feliz. Es ella. No hay duda, Fanny Ardant sólo puede ser Fanny Ardant.  Le trae a Madrid la que es su última película, Lola pater, de Nadir Moknèche, y que se estrena el 13 de julio. En ella, la intérprete que trabajó con Truffaut, Scola o Gavras; la protagonista de La mujer de al lado, Vivamente el domingo o La familia; el mito, en definitiva, del cine europeo que es, juega a refutarse, a negarse a sí misma y, ya puestos, a echar por tierra cada uno de los luga

Le Screen Parfait: Fanny Ardant

Elle est comme un pan de la culture française. Une actrice qui rédige des préfaces à des œuvres de littérature. Quand, au cinéma, elle est Lola Pater, un homme devenu femme, on est ébloui par tant de liberté et de beauté. Quand on rencontre Fanny Ardant, on est conquis pour les mêmes raisons. Une voix qui timbre les mots de velours et d’affectation. Une silhouette, hautaine, élégante, lointaine, une étrange beauté. Fanny Ardant, fille d’un colonel précepteur du  prince Rainier  de Monaco, a grandi sur le Rocher – « sans amis », dit-elle. Un amour immodéré des livres en général et de Marguerite Duras en particulier. Une actrice à part, bourgeoise, incandescente, amoureuse, qui, sous l’œil de François Truffaut (dont elle aura une fille) à Alain Resnais et Ettore Scola, a forgé un personnage, Fanny Ardant. C’est ce que je croyais savoir de Fanny Ardant, peu de choses finalement. Jusqu’à la découverte de Lola Pater, de Nadir Moknèche, au cinéma le 9 août. Fanny Ardant y joue L

Sinceramente splendida. Una meravigliosa donna del cinema, musa e protagonista, uno dei volti più amati della settima arte. Sicura, cortese, elegante. O, molto più semplicemente, Fanny Ardant.

Festival de Cine de Locarno

Lola Pater - Bande Annonce

Fanny Ardant en LA BnF fait son Festival - La Bibliothèque Parlante - 20 y 21 de mayo de 2017

La 3e Scène a invité l’envoûtante Fanny Ardant pour une création. Dans Magie Noire, enivrante plongée dans le fantasme, la réalisatrice orchestre l’intrusion de la culture tsigane à l’Opéra de Paris. Au cœur du tournage, Fanny Ardant s’est livrée sur son projet, ode à la liberté inaliénable des tsiganes et aux passions humaines exprimées par l’opéra.